La bataille des «Lettres ouvertes » entre « associatifs frondeurs » (qui font coup double, avec la version light dans la Boussole, et le deuxième effet kiss-cool trois jours avant l’AG… stratégie com’ un peu confuse toutefois), et « salariés pas contents » qui, pour une fois, répliquent par une pétition. Buzz garanti pour lancer l’AG. Plus facile que la « déconcentration » et les « partenariats avec le Sud ».
Un superbe effet boomerang de la lettre des « associatifs frondeurs » qui mobilise soudainement les salariés siège autour du débat de l’AG sur L’adhésion des salariés alors que tout indiquait un relatif désintérêt pour le sujet jusqu’alors.
4148, comme « la communauté MdM ». Quand Joël a un chiffre en tête, il n’hésite pas à le partager. Toute la semaine.
275, comme le nombre de votants à l’AG. Soit 30 de moins qu’en 2016, un nombre en chute inexorable ces dernières années. Et si c’était cela le problème principal plus que le droit de vote aux salariés ou la battle des Lettres ouvertes ?
Un grec et un syrien élus la même année au CA. Ouverture vers le Sud (de l’Europe…) enfin !
Karamatos, l’outsider parfait, qui revient 20 ans après, en se réclamant des Top Gun des années 90, Brugière et Granjon, et se fait élire quand même. Grosse côte chez les bookmakers de la rue Marcadet.
Confirmation de la tendance de ces dernières des JdM : en ce qui concerne le festif et le nocturne, les « missions France » écrasent nettement « l’international », trustant la plus grande partie du top 10 de fin de soirée, une domination quasi macronienne. Inclus une femme enceinte jusqu’aux dents après 2h du mat, c’est vous dire si ils sont hégémoniques. Il est loin le temps des expats qui se défoulaient au siège pendant les JDM.
Le Groupe AmLat (GALC pour les intimes) qui organise une réunion d’urgence le samedi matin , en même temps que l’AG. Les Insoumis de MdM ! Résistance !
Serge L fait l’amère et pénible expérience au vote de l’AG que les votes bloqués de lobby internes d’adhérents, ça marche encore.
Thierry M, de Lyon, nouvel élu au: il fait penser aux rôles d’Albert Dupontel, il a l’air tout sympa et doux mais on se dit que la grande carcasse peut péter un câble à n’importe quel moment et nous en coller une.
Le #DJ du Studio de l’Ermitage qui enchaine DaftPunk avec Maître Gims, la star des maternelles, ça ne le fait pas !
Les 4 tickets boissons pour 5 euro au Studio de l’Ermitage avec le plein de planteur à prendre derrière pour bien commencer la soirée, ça le fait !
Des portraits individuels en photo corporate où tout le monde est beau et à son avantage. C’est quand même simple de rendre de bonne humeur !
Le Vomitogate des JdM 2014, c’est notre « affaire petit Gregory » à nous, un feuilleton sans fin, devenu un mythe et le coupable court toujours.
La soirée phare des JdM est celle… qui interviendra le 30 juin pour le départ de « Chouchou & LouLou » du FDB …
Les Directeurs suivront donc un « atelier du management ». Comme c’est joliment dit. Ça fait tout de suite plus classe que « mise à niveau ».
Un groupe Whatsapp ?! Comment ça un groupe Whatsapp de salariés qui a bitché toute la semaine ?! Non mais vraiment, n’importe quoi !
De Botton, un sans-faute dans sa présentation de trésorier à l’AG. Clair, pédagogique, détendu. C’est top crédibilité un poste de trésorier pour un médecin pour accéder à des fonctions supérieures …
Des JdM bien rythmées, sans temps mort, sans plénières « powerpoint » interminables avec le PolitBuro au garde à vous, et un fil rouge « militance » qui tient la route. Merci aux organisateurs, vraiment. (Mathilde, pense bien à me ramener un petit cadeau de Hanoi, comme prévu…).
Pas un vrai ragot de fesses, rien. Décevant.
Laurent t’as oublié le bébé des JDM, Robin, né le 8 juin 😉
Tu es au top Laurent !