Fanny Martin-Born, directrice des Ressources Humaines
Sylvaine Perragin, psychothérapeute consultante RH – Tédéa conseil
Clémentine Bret, représentante du Conseil d’Entreprise
Carine Rolland, secrétaire générale
Philippe de Botton, président de MdM France
Joël Weiler, directeur général de MdM France
« A la rentrée, un comité de suivi des risques psychosociaux, ainsi qu’un groupe de travail opérationnel se mettront en place afin de :
- Définir un plan d’actions
- Coordonner l’ensemble des acteurs de Médecins du Monde concernés
- Suivre l’impact de ces actions sur des indicateurs RPS choisis par la DRH en lien avec le CE et le CA.
Un nouveau point en direct aura lieu une fois le plan d’actions validé. »
Carine Rolland, Présidente et Joël Weiler, Directeur Général. Mercredi 21 juillet 2021
Annexe 1 : Résultats du questionnaire salarié Médecins du Monde
1ere partie – 2ème partie
Annexe 2 : Tableau résultats Médecins du monde Bénévoles
La restitution de ce rapport, entendu hier interroge sur plusieurs points:
comment analyser une « entreprise qui est une ONG » en n’écoutant qu’une petite partie des acteurs ?
Le problème semble être surtout dans l’ARTICULATION organisationnelle et décisionnelle entre salariés et bénévoles qui doivent faire vivre et rendre acceptable cette démocratie participative complexe et qui génère de la souffrance pour tous ( ignoré par les auteurs de cet audit ainsi que la connaissance historique de l’ONG et ses fondements)
Cette articulation n’a pas été étudiée et est pourtant à charge pour une des partie absente??
Au siège, comme dans les délégations, nous sommes salariés, bénévoles en co-gestion et en co- décision, ces choix structurels sont effectivement complexe et l’on peut sY perdre et y souffrir mais se sont des choix politiques affirmés que chaque jour nous devons travailler.
Nous ne sommes pas une entreprise privée avec bénéfice et profit mais bien une organisation non gouvernementale à but non lucratif ( pas de profit ) il serait choquant d’avoir des gros salaires et un écart indiciaire important entre les bas et haut salaire, par rapport à non bénéficiaires, aux donateurs et à nos valeurs .
L’important dans nos valeurs est que les bas salaires soient mieux rémunérés que dans le privé et qu’il ai égalité de salaire homme/ femme
Hier j’ai entendu « la souffrance et la pénibilité au travail des salariés ( mais celles ci sont largement partagé par les bénévoles de terrains )
Monstre à 2 têtes mais un seul corps qu’il faut rassembler et non diviser et cliver .
Un audit d’une entreprise privée et d’une ONG ne devrait il pas être abordé différemment ?