Les violences subies au cours du parcours migratoire ont rendu la notion de survie de plus en plus prégnante parmi les populations en situation de mobilité.
Les violences s’observent autant au travers des récits que par des symptômes observés parmi les populations exilées qui fréquentent les différents centres de santé de l’association. Elles constituent un élément déterminant de la santé dans le parcours migratoire.
L’étude sur les violences policières envers les migrants et les réfugiés en transit, menée sur le territoire belge en 2018, constitue le socle de notre discussion en tant qu’elle traduit l’une des formes de violences caractéristiques subies sur le parcours migratoire.
Nathalie Godard, responsable du pôle Appui et politiques publiques, MdM
Stéphane Heymans, directeur des opérations, MdM Belgique